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Calvin Klein - III

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face sitting

 

 

Tu poses délicatement ton point sensible sur ma prunelle d’où suintent des perles de sirop qui passent au travers des mailles du filet protecteur. Nos nectars se mélangent discrètement puis d’un coup de reins, tu frottes ta petite chatte le long de ma hampe. Tes ongles s’enfoncent dans ma poitrine et tu lâches un râle de contentement, presque animal. Tu réitères plusieurs fois l’expérience et ton instinct bestial semble s’affirmer à chaque passage. Tu louvoies entre supplice et jouissance, à moins que les deux ne soient étrangement liés ...

  

Cette douce torture est trop savoureuse pour pouvoir y résister bien longtemps. Tu ne veux pas mourir ainsi, pas encore. Alors tu te jettes contre le mur placé juste derrière ma tête et viens coller ton sexe sur ma bouche avec la ferme intention que j’en abuse. Je m’éloigne un peu de ce mur pour que tu puisses pratiquement t’asseoir sur ma bouche qui te butines à l’envi. Ma langue qui connaît son affaire a déjà pris le chemin de ton antre gorgé de miel. Je le fouille avec gourmandise pour en extraire chaque nuance, chaque parfum ...


 Mais je ne veux pas me borner à reproduire les même caresses, comme la visite de ton petit orifice urétral qui me tente bien pourtant. Je veux te faire décoller autrement, puisque je me suis mis en position favorable et que tu es bien disposée à te laisser faire. Ma langue quitte ton antre et glisse sur ton périnée pour prendre place entre tes fesses. Je te décrypte du bout de mes papilles, faisant le tour de ton petit œillet. Il est tendre et velouté, ouvert à n’importe quelle proposition indécente ...

 

Je me pointe à l’entrée de ton fondement et m’y introduis sans peine, plongeant ma langue tout au fond de ton vestibule. Pur délice que de tourbillonner dans cet amas de sensations divines. Bien posée sur ma bouche qui se colle à toi comme une ventouse, tu commences à divaguer, tes doigts lustrant ta perle de nacre. Je te fouille comme un dingue, limant sans relâche ta petite rosette de mon organe buccal. Tu suffoques, la main perdue dans les méandres de ton intimité en feu. Je te sens au bord, tout au bord, et je décide de t’arracher le dernier râle qui aura raison de toi !

 

J’abandonne ton petit Q pour venir dévorer ta chatte et aspirer ton clito pour qu’il vienne se scotcher contre mon palais. Je ne te lâche plus jusqu’à ce que ton feulement de bête blessée déchire le silence. Et pour mettre fin à l’attente, tu te livres à moi comme je voulais l’entendre :

«  Haaaaaaannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!! » 

 

Tes orgasmes successifs me font perdre la raison et j’ai une envie folle que tu viennes étouffer les braises qui rongent mon ventre depuis bien trop longtemps déjà. Alors que les derniers spasmes de jouissance traversent ton corps, je tire sur mon boxer pour en libérer le pantin fou.  Mon sexe s’épanouit enfin au grand air, vigoureux et palpitant, comme tu l’aimes. Tu fonds sur lui de ta bouche impatiente d’en savourer la texture et le goût, te délectant à satiété de mon gland barbouillé de nectar … 

 

Nos corps s’emboîtent de nouveau l’un dans l’autre, chacun posé sur son flanc. Tes jambes s’ouvrent sur ton plus beau trésor et ma langue repart explorer ton canyon ruisselant de mouille. Je sens tes lèvres se refermer autour de ma pine et en aspirer la sève. Je lèche tes chaudes babines imprégnées du parfum envoûtant de ton intimité, oubliant presque ma propre jouissance ...

 

Ta bouche se met à aller et venir le long de ma hampe, tandis que mes bourses pleines de jus roulent entre tes doigts. Tu les presses puis viens les gober, l’une après l’autre, m’arrachant une longue plainte extatique. J’observe ta bouche qui revient coiffer mon dôme et m’avaler jusqu’à la garde. Ma queue frappe le fond de ta gorge, ce qui ne t’empêche pas de continuer de la dévorer. Je ne peux me concentrer davantage sur les caresses que je te prodigue, c’est vraiment trop bon ce que tu me fais subir ...

 

Une autre idée me vient à l’esprit pour mettre fin au supplice et agrémenter notre jeu. Je virevolte et me dégage de ton emprise. Difficile de communiquer sereinement durant ce genre d’échange fiévreux,  mais je te fais comprendre qu’il faut que tu prennes place là, bien au milieu du lit transformé en champ de bataille. Le temps que tu t’installes, quelque peu désorientée par tout ce que tu viens de vivre depuis près d’une heure, je récupère un masque que j’ai pris soin de ne pas oublier cette fois-ci, puis je le place délicatement sur tes yeux …

 

Plongée dans le mystère de mon emprise, je commence à caresser ta peau nue du bout des ongles, dépose de petits baisers le long de tes jambes, sur tes pieds. Le plaisir continue pour toi, d’une autre manière. Instinctivement ta main se porte sur ton intimité, comme si tu ne pouvais t’en empêcher. Je ne te refuse pas cette invite à l’exaltation des sens, le temps de poursuivre ma préparation ...

 

Je sors d’un sac des petites surprises, ainsi que notre jouet favori. Je place sur trois de mes phalanges de la main gauche, des doigts chinois. Le premier comporte des petits reliefs en portion de sphères. Le second est piquant comme un hérisson et le troisième est annelé, comme la queue d’un serpent à sonnette. Ma main se met à effleurer ton corps, ton visage, le menton puis ta bouche. Mes doigts tournoient légèrement sur ta peau. Je flirte avec l’aréole des tes mamelons tendus. C’est agréable pour l’instant, rien de plus ...

 

Je continue mon voyage et glisse sur ton ventre pour me diriger rapidement vers l’intérieur de tes cuisses. Mes attouchements sont agrémentés de baisers et de coup de langue, cela devient bien meilleur. Tu ondules sous l’étrangeté de mes palpations et tes soupirs accompagnent joyeusement le jeu de mes doigts sur ton clavier épidermique. La queue du serpent se met à sonner à l’orée de ton buisson ardent. Elle glisse sur ton petit bouton poli luisant le désir, et je m’insère doucement entre tes lèvres humides. Comme tu le précises assez justement, tu sens que c’est mon doigt ... mais pas vraiment ! 

 

Je laisse glisser mon doigt annelé entre tes lèvres juteuses, attendant qu’il soit bien enrobé de sirop. Soudain la petite queue de serpent frétille, t’arrachant des petits cris de surprise. Je caresse ton ventre et tes seins gonflés par cette excitation nouvelle que tu sembles apprécier sans chercher à en percer le mystère. Tes mains pourtant libres ne s’aventurent guère vers mon terrain de jeu. Tu profites de mes caresses subtiles, savourant chaque sensation qu’elles te procurent. Alors que la sonnette résonne de nouveau sur ton clitoris, c’est au tour du hérisson de pénétrer ton intimité ...

 

Le ressenti n’est plus le même. Les petits piquants, presque des cils, se frottent contre les parois de ton vagin devenu hypersensible. Je m’arrête quelques instants sur ton petit coussin râpeux, qui ne connaissait pas encore ce genre de contact. Je masse doucement ton point G avec ce voluptueux goupillon et j’observe ton corps se vriller de délice ...

 

 


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